Le Lhossar 2139 sera célébré aux Houches du 24 au 26 février 2012.
Programme à venir
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Le Lhossar 2139 sera célébré aux Houches du 24 au 26 février 2012.
Programme à venir
Ce dessin est offert par Olivier Ferra, en soutien au peuple tibétain et plus spécialement aux moines et à la nonne qui se sont immolés récemment...
http://dolma.over-blog.com/
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L'association bouddhiste Rigdzin Suisse - Thegchok Ling a le plaisir d'annoncer :
Matthieu Ricard et Alexandre Jollien
Conférence publique sur le thème "altruisme : de la transformation individuelle à celle de la société"
25 septembre 2011 à 20h30
Théâtre du Léman (Quai du Mont-Blanc 19) Genève
Lors d’une conférence en mars 2010 à Lausanne, Matthieu Ricard et Alexandre Jollien ont partagé leurs réfléxions et leurs expériences sur la méditation au quotidien. Après la conférence, un spectateur a partagé son ressenti sur son blog comme suit : « L’un (Matthieu Ricard) parle dans l’éternité d’un savoir qui lui est transmis et qu’il a mis en pratique, on le perçoit à sa parole pondérée, à sa gestuelle, à son ancrage équilibré, une manière d’être là qu’on ne peut acquérir qu’avec de très nombreuses heures de travail. L’autre (Alexandre Jollien) parle depuis son corps, dans l’immédiat de son vécu, il n’a qu’à se pencher pour ramasser des émotions et des m! ots, son terrain de travail, c’est lui, et en jardinier talentueux, il a su faire pousser à toute vitesse les plantes et les légumes pour savourer le parfum de la vie et panser ses plaies, combler les carences et nous les transmettre avec humour et gaieté.»
Suite au succès et à la richesse de cet échange, l’association bouddhiste Rigdzin Suisse - Thegchok Ling a le plaisir d’annoncer une seconde conférence sur le thème «Altruisme : de la transformation individuelle à celle de la société » au Théâtre du Léman à Genève.
Une partie des bénéfices de la soirée seront reversés à l’association Karuna-Shechen, projets humanitaires dans les régions himalayennes.
Ouverture des caisses dès 16h
Ouverture des portes dès 19h
Tarif unique : CHF 38.-
Informations et réservations :
rigdzincommunity.ch@gmail.com
www.rigdzin.ch
LHAKAR est un mouvement populaire qui a émergé au Tibet. En dépit de la répression intensifiée de la Chine, les Tibétains ont embrassé la stratégie - puissante - de la non-violence.
"LHAKAR est un mouvement qui a inspiré de nombreux Tibétains au Tibet après le soulèvement de 2008. C’est un effort visant à répandre le mouvement parmi les Tibétains en exil", déclare Dolkar, une jeune Tibétaine de 23 ans, résidant à Dharamsala.
Chaque mercredi, un nombre croissant de Tibétains font un effort pour porter des vêtements traditionnels, parler uniquement tibétain, manger dans les restaurants tibétains, en consommant uniquement tibétain.
La résistance se construit par les canaux sociaux, culturels et économiques (promotion de la culture, de l’identité et de la langue tibétaine) et non-coopératifs (refusant de soutenir les institutions chinoises et leurs entreprises). À moindre échelle, ces tactiques de non-coopération rappellent l’epoque du boycott des textiles britanniques par l’Inde dans sa lutte pour la liberté du pays.
Le mot tibétain "LHAKAR" se traduit littéralement par "mercredi blanc".
Mercredi est considéré par les Tibétains comme un jour spécial, car il est censé être le jour de Sa Sainteté le Dalaï Lama, né un mercredi.
Depuis 2008, après le soulèvement populaire [1], les Tibétains au Tibet et en exil ont fait des promesses diverses comme boycotter les produits "Made In China", manger végétarien tous les mercredis, lire un journal tibétain une fois par semaine, porter une chuba (vêtement traditionnel tibétain) tous les mercredis, etc... Grâce à ces engagements et actions, les Tibétains se rassemblent autour du plus grand mouvement que le Tibet ait jamais connu.
Autour du monde, le peuple tibétain essaie de respecter LHAKAR. En Inde, le mouvement a eu un effet boule de neige grâce à l’implication de bénévoles, de militants, d’écrivains ou tout simplement d’individus qui croient au mouvement.
Avec la croissance de la diaspora tibétaine, ce mouvement est destiné à préserver l’identité tibétaine au moins une journée par semaine.
À Dharamsala, pour les Tibétains en exil, ce jour-là signifie beaucoup ; cela signifie que l’âme du Tibet est vivante pendant un jour.
Cette journée préserve et met en avant la culture tibétaine à travers des actions simples telles que le port de la chuba et autres vêtements traditionnels, en ne parlant que la langue tibétaine pendant toute la journée, en écoutant de la musique tibétaine traditionnelle, en mangeant dans des restaurants tibétains...
À Dharamsala, dans la communauté tibétaine en exil, beaucoup de gens ont décidé de se joindre au mouvement.
Un groupe de soutien a été récemment formé à Dharamsala, dans le but de faire connaître LHAKAR à la communauté tibétaine. Le groupe a créé un site internet, une page Facebook, et un compte Twitter [2]. Grâce à internet, le mouvement LHAKAR peut facilement communiquer à travers le monde.
Dolkar est une jeune tibétaine de 23 ans née en Inde. Elle n’a jamais vu son pays, mais chaque mercredi, ses pensées sont au Tibet et son style de vie est strictement tibétain.
Grâce à LHAKAR, une connexion est établie entre elle et le "Toit du Monde".
Pour Dolkar, l’idée est de préserver la culture, la langue... En bref, l’identité du Tibet ajoute une autre dimension au mouvement.
"Je suis tibétaine ; je n’ai pas besoin de me le rappeler, mais tous les mercredis - plus que tout autre jour - je me souviens de la lutte que nous menons et ce qui se passe au Tibet. Grâce à ce mouvement, il y a clairement un lien entre la communauté en exil et les Tibétains au Tibet".
Progressivement, la communauté tibétaine en exil prend part au mouvement.
Chaque mercredi, Dolkar communique son engagement pour la cause tibétaine à travers ses actions.
"Dès que je rencontre de nouveaux amis, je leur parle de LHAKAR. Les Tibétains en exil sont très réceptifs et sensibles au mouvement. Le message se répand rapidement et il y a un soutien croissant de la communauté".
Ce qui interpelle la population dans le mouvement est probablement le fait que c’est plus un état d’esprit. Il n’existe aucune règle, aucune restriction ; chacun est libre de prendre des initiatives ou de ne pas suivre le mouvement.
Ce mouvement est pour le peuple, pour chaque Tibétain.
"Pour ma part, je suis plus responsable en tant que Tibétaine le mercredi. J’agis. Quand je porte ma chuba, j’essaie d’inspirer les autres".
Il est intéressant de constater que la jeunesse tibétaine en exil multiplie les actions au profit de la préservation de la culture tibétaine. Sans tomber dans la politique ou l’activisme pur et dur, le mouvement LHAKAR résiste à l’occupation chinoise grâce à des actions simples qui fédèrent la population tibétaine en exil et noue le contact entre Tibet et diaspora tibétaine. Le mouvement a dans ce sens, de beaux jours devant lui.
Pour en savoir plus sur le mouvement lhakar :
Lhakar.org
Sur Facebook : groupe Lhakar Diaries
Sur Wordpress : Lhakardiaries
Sur Twitter : Lhakardiaries
Sources : Carole, correspondant à Dharamsala et Lhakar.org
Les 23 et 24 juillet prochains, l'association de soutien au Tibet des Houches "Lions des Neiges Mont Blanc" organise un hommage à Claude B. Levenson,écrivaine, journaliste et tibétologue, décédée le 13 décembre dernier.
Samedi 23 juillet, espace Olca aux Houches
à 17h
projection du film "The Sun Behind the Clouds" (Le soleil derrière les nuages)
film de Ritu Sarin et Tenzin Sonam - 79 mn - vo sous-titrée en français
sur le combat non violent du Dalaï Lama pour l'autonomie du Tibet au sein de la RPC
et les aspirations plus tournées vers une complète indépendance du Tibet de la jeune génération.
Un retour également sur les événements de mars 2008 au Tibet.
à 19h30
repas tibétain 12 € (- 16 ans = 6€)
réservation conseillée au 04.40.54.55.20 ou auprès d'Anne-Marie au 06.40.17.50.34
à 21h
soirée hommage à Claude B. Levenson
en présence de son mari Jean-Claude Buhrer et de proches
films et discussions sur la vie et les combats de cette militante infatigable.
En raison des conditions météo
nous sommes contraints
d'annuler la marche
Dimanche 24 juillet
Marche aux couleurs du Tibet vers le Lac Blanc (vallée de Chamonix)
2 groupes :
- par la Flégère : environ 2h-2h30 de marche - prévoir de prendre la benne vers 9h car affluance des vacances.
Bus direct des Houches, départ Prarion 8h30, Chamonix Centre 8h50, Praz-Flégère 8h58
Train direct des Houches, Viaduc-Sainte-Marie 8h20, Les Houches 8h23, Chamonix 8h40, Les Praz 8h47
Téléphérique de la Flégère = A/R 13,50€
- par le Col des Montets : environ 3h-3h30 de marche, assez raide au départ, balcon ensuite avant montée finale au lac.
Pensez au covoiturage ou bus.
Horaire du bus : Départ Les Houches-Prarion 7h30, descendre à Chamonix Centre pour prendre, à 8h, le bus en direction du Col des Montets - arrivée 8h32
Participation réservée aux membres de l'association Lions des Neiges Mont-Blanc
(pour des problèmes d'assurance)
Possibilité de prendre l'adhésion sur place ou dès maintenant (15€ adhésion individuelle - 25€ adhésion famille).
On se retrouvera vers 12-13h au bord du Lac Blanc pour partager ensemble ce que chacun aura apporté pour
pique-niquer. Vous pouvez porter les couleurs du Tibet : t-shirts, drapeaux, etc...
Pour toute information complémentaire ou réservation des repas:
04.50.54.55.20 (du mardi au samedi 14-19h) ou Anne-Marie (06.40.17.50.34)
ou par courriel lionsdesneiges_montblanc@voila.fr
Bonjour à tous
Bientôt le Nouvel An tibétain
Année Lapin de Fer
Et comme d'habitude 3 jours d'information et d'échanges sur le Tibet
à travers films, conférences, débats, ateliers, spectacles
Nombreux intervenants
Restauration tibétaine bio sur place
Programme prochainement sur le site et dans les offices de tourisme de la Vallée
renseignements : 06 85 32 23 78 affiche : sophie samdup milamsamdup@hotmail.fr
Retenez votre soirée du lundi 27 décembre pour une soirée sur le Ladakh, à partir de 21h, à l'Espace OLCA, dans le but d'aider 2 jeunes réalisateurs ladakhis qui ont tout perdu lors des inondations du mois d'août.
MIGCHOOU (L'eau des yeux)
film ladakhi
1h 30 - VO sous-titrée en français
Production HIMALAYA FILM STUDIO - LEH
Prix de l'entrée : 5€ + boîte à dons
(intégralement reversés aux réalisateurs)
Sonam est le fils de Yangskit et de Paljor, deux parents aimants et désireux de lui donner la meilleure éducation possible. Yangskit meurt de maladie et fait promettre à son mari de tout faire pour que Sonam reçoive la meilleure éducation, et devienne un homme instruit,...un sage.
Paljor se remarie une dizaine d'année plus tard avec Kunzès qui va tout de suite considérer Sonam comme "garçon de ferme", ne lui donnant que des ordres de travail et ne lui permettant pas d'aller à l'école. Tashi naît de ce second mariage, et lui aura toutes les facilités pour étudier. Sonam tombe malade de trop travailler. Le docteur, à cette occasion, apprend à Tashi que Sonam est son demi frère. Tashi est pris de remords et essaye de comprendre ce "grand frère" méconnu. D'une longue discussion entre eux naissent, amour, complicité, et respect mutuel.
LES REALISATEURS : Deux jeunes hommes, nés dans des petits villages d'éleveurs isolés du Ladakh...
ZANGPO SERTHI :
31 ans, ainé d'une famille très pauvre du village de Serthi, il est resté plusieurs mois dans le coma; puis paralysé suite à un très grave accident lorsqu'il avait 15 ans. Amputé d'un bras, il savait qu'il ne pourrait plus prendre part aux travaux de la ferme familiale. Il traverse deux années de désarroi et, n'acceptant plus d'être "un bébé et un roi" au sein de sa famille, il quitte son village et va à la ville. Il essaye de travailler dans une boutique et "commence à se faire du cinéma et de la musique dans sa tête".
Une volonté et une créativité hors du commun ont fait de lui, 15 ans plus tard, un réalisateur, musicien, compositeur, célèbre dans sa ville, apprécié au Ladakh et même dans l'état du Jammu et Cachemire.
STANZIN GYA :
33 ans, cadet d'une famille de six enfants, agriculteurs et éleveurs aux confins du "Changtang" (Hauts plateaux à 5000m d'altitude), il passe une grande partie de son enfance et de son adolescence à garder les yacks et les chèvres "pashmina" de sa famille sur les plateaux. Quand un jour, il annonce à sa mère son désir d'être cinéaste, elle le regarde comme un extra-terrestre !
Il rencontre alors le directeur du S.E.C.M.O.L. (une ONG Ladakhie dont un des but est de permettre des scolarisations qualifiantes aux jeunes Ladakhis motivés) et Stanzin y passe sept ans. Ses qualités et ses dons sont remarqués et il bénéficie alors d'une formation spécialisée en audio visuel à Delhi où il devient "Bachelor of Arts"
L'histoire d'une rencontre :
L'âge, les milieux sociaux, les histoires personnelles, les difficultés de vie, les désirs professionnels communs, ont réuni, il y a six ans, Stanzin et Sangpo.
Ils fondent "HIMALAYA FILM STUDIO", empruntant aux amis, vendant des moutons...Ce sont des années de "galère", mais tous les deux veulent faire de leur vie quelque chose d'utile pour leurs villages, et refusent la vie facile de "fonctionnaire d'état".
Zangpo écrit les scénarios des films, les musiques, les chansons. Stanzin est à la caméra, tourne et monte les images. Les acteurs sont tous des Ladakhis, bénévoles, non professionnels (ça n'existe pas là-haut...!!) qui font ça avec leur coeur, et pour qui c'est une incroyable aventure aussi.
MIGCHOOU est leur second film. Il rencontre un immense succès tant à LEH (la ville) que dans les petits villages, où ils le diffusent dans une petite camionnette équipée d'un écran et d'un groupe électrogène.
C'est un film ÉTONNANT, DÉROUTANT, profondément marqué par la "double culture" des deux réalisateurs, nés dans une culture "Tibétaine" de l'Himalaya, mais formés à la culture indienne de Delhi et de "BOLLYWOOD" :
Les moments chargés émotionnellement sont toujours pudiquement chantés par les acteurs, mais les images sont tournées dans les paysages fascinants du haut Ladakh, dans les déserts de haute altitude. L'amour de leur culture et de leurs villages est le fil conducteur de leurs films.
Soirée proposée par Christiane Mordelet , présidente de l'association "Tisser la paix", travaille avec le Ladakh depuis 30ans ; elle est également réalisatrice et a fait quelques films pour FR3.
Depuis 3 ans , elle travaille avec 2 jeunes réalisateurs ladakhis qui ont créé une petite société de production "Himalaya Film Studio" à LEH ; ils employaient 5 jeunes et faisaient travailler plus de 20 familles quand ils tournaient une fiction.
Le studio a pris l'eau dans la nuit du 5 au 6 août et le remettre en état en y installant l'électricité solaire leur coûterait entre 7000 et 10000€.
"Claude s'est éteinte paisiblement lundi 13 décembre à 22h30. Jean-Claude était avec elle. Elle serrait dans sa main une statuette du Bouddha que lui avait offerte le Dalaï-Lama."
Nous la savions gravement malade mais c’est avec beaucoup d’émotion et une immense tristesse que nous avons appris que cette très grande dame nous a quittés le 13 décembre. Depuis le départ de l'association (et même avant) elle a toujours été une référence pour nous en ce qui concerne le Tibet et elle a toujours été présente, lorsque c'était possible, quand nous faisions appel à elle. Elle manquera beaucoup pour la défense de la cause tibétaine.
Un peu d’elle se trouve ici : http://www.claudelevenson.net/
Merci Claude
Une quête de vérité et de liberté
C'était en début d'année en Inde du nord-est : comme bien d'autres fois elle assistait à l'enseignement que donne traditionnellement le Dalaï-lama devant des centaines de milliers d'Indiens. Le dernier jour de cet enseignement, le leader tibétain lui a fait signe de s'asseoir à ses côtés. C'est cette image que ses amis devraient conserver de Claude B. Levenson, femme discrète et compétente, amicale et précieuse dans ses écrits et ses essais, dans sa lettre mensuelle comme dans sa relation avec les autres.
Hommage de Christine à Claude
Blancheur immaculée, rêve de neige ...
La neige est là, la lumière aussi
Quintessence de la lumière, pur esprit Claude est devenue
Sur les cimes enneigées, glissent les perles ...
Les Droits de l'homme tu les a portés au plus haut
Notre région, pour le Tibet, tu l'as fait briller de la magnificence de ton esprit
Inlassable guerrière, guerrière par les mots, puissance de ta parole...
Les mots, chargés de grâce, d'amour et de liberté
tu les as mis au service du Tibet, pour les tibétains, avec les tibétains
Nous n'avons eu de cesse de t'inviter, de t'écouter
Tu étais notre référence et dans toutes les associations
tu as fait l'unanimité
Les mots, porteurs de sens, chargés de la douleur du Tibet,
Les mots, lourds de violence contenue et d'aberration profonde
tu as su les mettre en acte, simplement, posément, puissamment....
Ton oeuvre, témoin inéluctable de l'histoire tibétaine
Ta résistance sereine, ta profonde intelligence
puissent-elles inspirer nombre de futures générations
Quand tout espoir pour le Tibet semblait perdu
ta newsletter arrivait, sublime de pertinence, d'évidence
nous remettait en selle pour un nouveau galop
Ecrivaine subtile, tu as su bâtir des ponts entre les tibétains et nous
tu nous as invités à la réflexion
et tes instincts secrets ont magnifié la cause tibétaine
Par delà les mots, par delà les instants, par delà les regards
par delà la vie et la mort,
nous te réitérons notre admiration
Belle et puissante lionne,
les lions te saluent.
Espace Aides au Ladakh
Vous êtes femme, homme, enfant … agriculteur, artisan, artiste, commerçant, etc ?
Vous voulez participer à l'aide au Ladakh suite aux inondations dans la nuit du 5 au 6 août ?
Venez offrir un objet, fruit de votre passion ou simplement que vous souhaitez donner afin qu'il soit vendu, pendant ce festival, pour soutenir le projet d'aide à l'hôpital de Leh ou à la reconstruction de maisons bioclimatiques.
Apportez ce ou ces objets à l'Espace OLCA le vendredi 5 novembre à partir de 8h.
Projet de l'assosiation « Lions des neiges mont-blanc «
En présence Lonicera, Sophie et Tsewang qui on passaient de mai à novembre au Ladakh et Zanskar. Ils passeront des photos et pourront répondre à vos question .
Renseignement : http://indes-et-partages.over-blog.org/ ou 04/50/54/55/20
Suite aux très fortes pluies qui se sont abattues sur le Ladakh dans la nuit du 5 au 6 août, causant une catastrophe sans précédent dans la région, voici le récit de Céline et quelques photos de Tsewang et Sophie.
"Dans la nuit, on entend au loin l'orage qui gronde... Rien de bien méchant...
Mais le matin, la nouvelle arrive de je ne sais où : il y a eu des inondations à Nyemo ! Je cherche à joindre Danielle et Diskit mais le téléphone ne passe pas. J'essaie encore et toujours, et à midi, Danielle décroche : "nous sommes vivants !". Cette simple phrase me glace le sang : "que s'est-il passé ?":
"une nuit de cauchemar !!! Le fleuve a débordé, une coulée d'eau
est tombée de la montagne, le village a été dévasté : nous avons
couru dans les champs dans tous les sens, personne ne savait où
aller, l'eau venait de partout ! Angchuk, Motup et Olivier ont couru
dans tout le village pour récupérer les gens qui pleuraient, qui
criaient... Et quand on a atteint la route en hauteur, ce sont des
avalanches de pierres qui nous sont tombées dessus : avec des roches
plus grosses que des voitures... Un vrai cauchemar !!! Des personnes
sont mortes : des travailleurs de la route. Et il y a 3 disparus dans
le village... On aurait pu y rester.... Et puis au retour, on a eu un
accident avec la voiture : le pneu a explosé et Angchuk a évité de
justesse de mettre la voiture au fossé. On a été ramenés par l'armée.
Le mariage est annulé bien sûr... A 1 jour près, nous étions 500 de
plus à courir à travers champs dans le déluge..."
La journée se passe. Diskit est restée à Nyemo.
Olivier et Danielle, choqués, sont restés dormir à l'hotel.
Angchuk repart dans son village et emmène Rabyang
(le 3ème de la famille de Diskit) avec lui pour aider.
Le soir, nous nous retrouvons avec Rigzin, Sonam,
Rinchen, Rabgyes, et 2 français pour nous changer
les idées... Nous buvons un peu, chantons des chansons
locales, des chansons françaises, racontons des blagues...
Rigzin est un superbe chanteur. La soirée est vraiment
chaleureuse et joyeuse... Le soir, chaque "groupe" rejoint
ses quartiers. Il est minuit....
Vers minuit et demi, l'orage qui menaçait sur les montagnes
alentour explose. Le ciel est illuminé en permanence.
Il pleut des trombes d'eau. La pluie est glacée. Impossible
de dormir jusqu'à au moins 1h30... Puis ça se calme.
La fatigue prend le dessus et je m'endors.
Qui aurait pu prévoir ? Qui aurait pu ????
Le lendemain, à 8h30, je retrouve Sonam dehors. Il vient de recevoir un coup de fil : la moitié de Choglamsar a "disparu" ... Je ne prends pas au sérieux plus que ça cette information. C'est sûrement juste "une façon de parler"...
Je décide de retrouver Olivier et Danielle à leur hôtel et de déjeuner en cours de route. Pour cela, je dois descendre jusqu'à Leh (40 min de marche), puis encore plus bas jusqu'à leur hotel (20 min de plus). Je me dis que je vais m'arrêter au Jeevan Restaurant, le premier de Changspa road en descendant... mais il est fermé... je me dis qu'ils ont dû avoir quelques dégats dans leur cuisine à cause de la pluie... A moins que ce soit tout simplement trop tôt pour ouvrir ?... En descendant encore, les boutiques sont fermées mais ça ne me choque pas car dès que l'on est un peu hors saison, cette rue est majoritairement fermée... J'atteins ensuite le centre de Leh et je me dis que je vais faire un petit détour pour prendre des galettes de pain cachemiri dans la "rue des boulangers"... Là encore,
tout est fermé... je me dis : "c'est normal, c'est vendredi, ce sont des musulmans..."... Et forcée de continuer dans la rue principale je dois bien me rendre à l'évidence : tout est fermé !!!! Encore un petit espoir de trouver le "pinguin restaurant" ouvert pour me remplir l'estomac : peine perdue, il est fermé aussi ! Cette fois, je suis inquiète. Je descends tout droit à l'Hotel Mandala pour retrouver Olivier et Danielle : seule Danielle est là : "ça a recommencé me dit-elle. A Nyemo, mais aussi tout le bas de Leh est détruit ! Diskit, Angchuk et Rabyang ont de nouveau passé la nuit à courir dans les champs... Mais à Leh, toute le quartier vers les bus est détruit ! " Mon sang se glace. Olivier revient déjà avec des
photos : c'est l'apocalypse ! Toutes les maisons ont été emportées. Karma, le propriétaire de l'hotel décrit sa nuit d'horreur, allant de corps en corps, testant les pouls pour n'embarquer que les vivants... "Il y a une centaine de morts dit-il ! "Motup revient lui aussi du champ de "bataille" : on a besoin de bras pour dégager les pierres !! Je me débrouille je ne sais comment pour trouver la moto d'un copain qui me remonte au centre écologique. Je me change et redescends aussitôt pour aller aider... J'ai quelques biscuits dans le ventre. C'est tout. Mais je n'ai pas faim. Sur place, on ne voit même plus les maisons. Des files s'organisent pour dégager la terre, creuser... Certains ont des pelles, d'autres des bouts de tissu dans lesquels ils transportent les gravas de l'autre côté. Le but est de dégager ce qui peut l'être encore...
Vers 16h, une camionnette passe pour dire qu'à Choglamsar, on a besoin d'aide... Je pars avec d'autres dans 2 camions militaires. Je me souviens de ce que Sonam m'a dit le matin même "Choglamsar est à moitié détruite". Que vais je trouver ? J'ai peur que les mots entendus soient vrais....
A la descente du camion. Je ne reconnais rien. La situation est pire qu'à Leh : il n'y a plus RIEN !!!!! Choglamsar a été lessivée, rayée de la carte !! Que peut-on faire ??? balayer la montagne ???Il y a une épaisseur de boue, comme du ciment liquide de 1m50 au moins et seuls quelques murs sont encore debout... L'armée drague la boue avec des bâtons en s'enfonçant jusqu'en haut des cuisses. Des morceaux de bois sont posés sur le sol mouvant pour permettre d'avancer... Que peut-on faire ??? Je ne peux qu'avancer, pétrifiée... Où est la maison de Rigzin Chorol ? Où est celle de Sonam Youdol ? Où est la Rigjum Public School ??? Je ne distingue rien d'autre que le TCV (l'école des enfants tibétains) qui tient debout comme par miracle au milieu de l'immense "plaine"... Mais où sont les maisons-internat ??? Avant, ce n'était pas une plaine, c'était un labyrinthe de rues et on ne voyait pas le TCV depuis "la route"....
Des voitures sont encastrées dans ce qui reste du Bazar... Je me rends compte que nous marchons sur le mur mane (mur construit avec des pierres sculptées de prières)... c'est un sacrilège mais il n'y a pas d'autre choix.
Tout est très désorganisé et l'armée, qui nous a fait venir, nous demande finalement de partir car le ciel est menaçant et que tout peut recommencer très vite. On repart donc par les moyens qu'on trouve...
Je saute à l'arrière d'un pick-up et remonte doucement à
Leh. Je repasse par cette "autoroute" qui mène de l'aéroport à Leh et
qui n'est plus que le lit de torrent asséché, rempli de pierres et
de terre. Les torrents de boue sont venus de toutes parts : il n'y a
jamais eu même un ruisseau ici ou à Choglamsar : c'est l'orage qui a
créé des torrents improvisés...Toute la population a peur. Il est 18h. Le ciel menace. Des gens crient de monter sur les montagnes. Des fausses rumeurs de torrents en crue circulent. Je rejoins Leh le plus vite possible. On s'appelle
les uns les autres : où vas-tu ??? Sonam m'ordonne de rejoindre le Shanti Stupa le plus vite possible : le torrent est en crue et le pont ne tiendra peut-être pas. En chemin, Tinley a trouvé une voiture et me prend au passage... mais on ne peut déjà plus franchir le pont avec un véhicule. Alors je descends de la voiture et je cours pour
traverser. ça y est, je suis de l'autre côté : ce n'était qu'un pont avec un torrent menaçant finalement... Comme moi, des dizaines et des dizaines de Ladakhi grimpent se réfugier au Shanti Stupa. Là haut, c'est un véritable camp de base de réfugiés.... Nous y passerons une nuit, puis une seconde et la nuit dernière encore. Durant la deuxième nuit, c'est le village de Dha qui a été ravagé, à presque 200 kms d'ici...
A Leh, les nuits sont calmes depuis même si la tension reste palpable.
Les volontaires s'organisent : ce sont les civils qui creusent. L'armée dégage les routes... Nous sommes en blocus :l'approvisionnement ne peut venir ni de Srinagar (route de Nyemo), ni de Manali (route de Choglamsar). On rapatrie les trekkeurs : on envoie des hélicoptères. La vallée de la Markha a été la plus touchée mais il y a eu des éboulements vers Lamayuru aussi. Ils ont dégagé la piste de l'aéroport et évacuent les touristes : hier, aujourd'hui et
demain, 3 avions supplémentaires ont été affrétés. J'entends les touristes paniqués parler de leur visa, de leur avion qu'ils risquent de manquer, des difficultés qu'ils ont eu sur la route... A côté, Tsewang a été reconnaître les morts dans son village de Choglamsar : des enfants, beaucoup d'enfants... et encore tellement de disparus, ensevelis... Choglamsar a été détruit à 70%. Impossible de dire combien il y avait d'habitants : c'est la grosse banlieue de Leh...
Tous pensent qu'il ne peut pas y avoir moins de 500 morts. Je le pense aussi...
Leh est choquée. Entre vie et mort, on rit encore mais on ne parle pas d'avenir. On vit aujourd'hui, "tomorow never happen" comme on dit toujours ici... Mais aujourd'hui, ça a encore plus de sens... Quelle est la valeur d'un visa, d'un avion manqué, de vacances avortées dans ces conditions ? J'entends des touristes dire "qu'on ne s'est pas assez occupé d'eux" ?... Ils n'ont sans doute pas assez séjourné ici pour relativiser la valeur des choses...
Avant-hier, je me sentais impuissante, comme la majorité d'entre nous. Alors j'ai pris mon outil, ma caméra, et je suis retournée à Choglamsar. Hier et aujourd'hui, je cherche des points d'électricité pour monter ce que je peux, enespérant qu'internet tiendra le coup pour que je puisse envoyer quelques images... Témoigner est la seule chose que je puisse faire pour l'instant.
Mais hier, les volontaires se sont organisés davantage et dès que ces images seront parties, je me joindrais à eux pour un travail de terrain : nettoyer l'hôpital, creuser dans les maisons... Sonam Norbu a rejoint l'équipe du rafting : ils récupèrent les corps dans l'Indus. Il n'a jamais fait de rafting mais c'est aussi une façon de noyer sa peine : sa voiture
était à Choglamsar : c'était sa "confiance", sa "réussite" sa voiture...
Je passe toutes mes nuits au Shanti Stupa. La moindre goutte d'eau est une alerte mais je ne crains rien. La catastrophe est passée. La priorité est aux vivants..."
Un bilan provisoire communiqué par Sophie le 13 août :
Voici les chiffres donnés par L.B.A Ladakh Boudhist Association il y a quelques jours (je pense qu'ils ont du augmenter depuis):
> -1000 familles et maisons touchées.
> -185 morts
> -600 disparus
> -500 blessés
> -20 ponts détruits
> Les villages les plus touchés sont:
> -Leh, les alentours du bus stand et l'hopital
> -Choglamsar, camps n°
> -Phiyang
> -Saboo
> -Shey
> -Taroo
> -Skarmo
> Les routes touchées:
> La route de la Markha n'est plus du tout pratiquable
> La route de Srinagar est maintenant meilleure, les ponts de Nimoo, Basgo, Yangthang, etc..... sont détruits.
>
> Des camps de refugiés se montent un peu partout, dans les camps militaires, au TCV de Choglamsar qui n'a pas été touché (comme on a pu l'entendre en France ; les 2000 élèves vont bien)
> Il y a encore des gens qui dorment dans les montagnes dès que le ciel se couvre.
Si vous voulez apporter une aide aux habitants sinistrés du Ladakh, vous pouvez adresser vos dons à l'association : chèques libellés à l'ordre de Lions des Neiges Mont-Blanc, en inscrivant au dos la mention "pour le Ladakh". Un recensement des besoins est en cours, Sophie et Tsewang s'en occupent en lien avec les associations locales et notamment la L.B.A Ladakh Boudhist Association .
Bonjour le Tibet !
Lundi 9 août
Espace OLCA
Les Houches
Documentaire apéro débat à 18h
«Le sentier interdit»
de Pierre Anglade (53mm)
A partir de 19h30
assiette tibétaine bio plus dessert (10€)
Stands et Bar tibétain
A 21h Film débat
« Ce qu'il reste de nous »
de François Prévost & Hugo Latulipe (1h22)
La Communauté bouddhiste internationale Rigdzin
a l’immense joie de vous annoncer que
Sa Sainteté le 17ème Karmapa, Orgyen Trinley Dorje,
l’une des figures les plus importantes du Bouddhisme tibétain après le Dalaï-Lama,
a accepté de venir donner en Suisse une série exceptionnelle de conférences et enseignements
les 11 et 12 septembre 2010 à Lausanne
ainsi que les 18 et 19 septembre 2010 à Bâle.
D’une présence et d’un charisme hors du commun, c’est dans un langage à la fois clair et chaleureux
que Sa Sainteté abordera différents thèmes
avec la vision profonde et la joie communicative qui le caractérisent.
SAMEDI 11 SEPTEMBRE LAUSANNE, PALAIS DE BEAULIEU
MATIN 9:30 – 11:30 ENSEIGNEMENT par S.S. KARMAPA
La méditation, source de paix intérieure (partie I)
APRÈS-MIDI 14:00 – 16:00 ENSEIGNEMENT par S.S.KARMAPA
La méditation, source de paix intérieure (partie II)
DIMANCHE 12 SEPTEMBRE LAUSANNE, PALAIS DE BEAULIEU
MATIN 9:30 – 11:30 INITIATION par S.S. KARMAPA
Padmasambhava
APRÈS-MIDI 14:00 – 16:00 CONFERENCE PUBLIQUE par S.S. KARMAPA
Bouddhisme et science
SAMEDI 18 SEPTEMBRE BÂLE, THEATRE MUSICAL
MATIN 9:30 – 11:30 ENSEIGNEMENT par S.S. KARMAPA
Le bonheur au quotidien (partie I)
APRÈS-MIDI 14:00 – 16:00 ENSEIGNEMENT par S.S.KARMAPA
Le bonheur au quotidien (partie I)
SOIR 20:00 - 22:00 SPECTACLE
Danses et chants tibétains
DIMANCHE 19 SEPTEMBRE BÂLE, THEATRE MUSICAL
MATIN 9:30 – 11:30 INITIATION par S.S. KARMAPA
Avalokiteshvara (Chenrezig), le Bouddha de la compassion
APRÈS-MIDI 14:00 – 16:00 CONFERENCE PUBLIQUE par S.S. KARMAPA
Bouddhisme et respect de l’environnement
Le Karmapa s’exprimera principalement en langue tibétaine.
Ses enseignements seront traduits en français, anglais et allemand.
INFORMATIONS ET RESERVATIONS
Les billets sont disponibles directement sur notre site Internet :
www.karmapa2010.ch
Venez rencontrer au Musée dauphinois
les associations iséroises qui perpétuent les valeurs de la culture tibétaine :
France Tibet Isère
Grains de sable, grains de sagesse
Solhimal - Migdan - Alpes Himalaya
Université Rimay Nalanda et Institut Karma Ling
Amnesty International
Ecole de la paix - Aide aux réfugiés tibétains
Tibet, chevaux du vent - L’Arche de Dolanji
Le programme élaboré par les associations
engagera de nombreux échanges dans une ambiance festive :
expositions, présentation d'ouvrages, objets d’artisanat,
reportages photographiques,
réalisation d’un mandala,
animation d’un atelier pour enfants , …
Cette manifestation s’inscrit dans le cadre de l’exposition
Tibétains, peuple du monde
présentée au Musée dauphinois jusqu’au 4 janvier 2011
Entrée libre.
Toutes les information sur : http://www.musee-dauphinois.fr/
Le médecin Tibétain Dorjee Rabten Neshar sera de passage dans notre région du lundi 21 au mercredi 23 juin.
Il donnera une conférence sur la médecine tibétaine MARDI 22 juin à 20h30
Si vous désirez le rencontrer personnellement, contact au 04 50 76 10 62 ou par mail <f.rossetti6@gmail.com> .
Si vous habitez la région lyonnaise contactez <bingel-cannell@orange.fr>.
ASSOCIATION OBJECTIF TBET
CONFERENCE sur la MEDECINE TIBETAINE
MARDI 22 JUIN à 20h30
à PUBLIER - Salle / rue des Châtaigniers (proche de la Mairie)
entrée : 4€
La MALADIE
ses causes et ses remèdes
selon la médecine tibétaine
par le Docteur DORJE RABTEN NESHAR, médecin tibétain,
chef de la clinique tibétaine de Bangalore en Inde.
Conférence en anglais traduite en français
****************
La médecine tibétaine traditionnelle est une des plus anciennes médecines au monde et remonte
à près de 2500 ans. Au 8ème siècle un célèbre médecin tibétain, Yutok Yonten Gonpo, rédigea
les « quatre Tantra Médicaux » un ouvrage exceptionnel de 156 chapitres et 80 peintures (Thangkas) ,
qui fait encore référence de nos jours.
La médecine tibétaine est basée sur une conception holistique de l’être humain : l'état de santé de la
personne va dépendre de son environnement, de son mode de vie, de son alimentation, des énergies
physiques et psychiques qui l'affectent ; de plus , esprit et corps sont indissociables.
La science médicale tibétaine est aussi un art de vivre,
comprenant des dimensions éthiques, culturelles et esthétiques.
Le diagnostic des déséquilibres se fait d’abord par la perception de 3 pouls, par l’examen de l’urine,
des yeux, de la langue, etc. Les remèdes sont à base de plantes, de minéraux et de métaux,
prescrits sous forme de pilules, poudres ou onguents.
Le docteur Dorjé Rabten Neshar,
diplômé de l'Institut de Médecine Tibétaine de Dharamsala en Inde,
exerce depuis 1991 comme médecin-chef au Centre médical tibétain de Bangalore en Inde.
En 1995 et 1996, le docteur Neshar reçut à Calcutta le prix Shiromani
et la médaille d'or du conseil indien en médecines alternatives, pour sa contribution exceptionnelle.
Président du Conseil Central de la médecine tibétaine de Dharamsala, il a été invité à Tokyo
en mars 2010 pour une conférence sur la médecine tibétaine.
Organisation : association Objectif Tibet de SCIEZ <http://objectif-tibet.blogspot.com/ >
Contact : objectif-tibet@orange.fr - tel : 04 50 76 10 62
Avec la participation de l’association Yoga à Vivre de Publier < http://www.yogavivre.com/>
SERVOZ
Salle Jean Morel
Samedi 6 mars à 21h
«Prisonniers du toit du monde»
suivi d'un débat avec 2 membres du GuChuSum
(anciens prisonniers politiques tibétains en exil en Inde)
Phurbu Tsering, vice-président et Tarshin, trésorier
dans le cadre d'une tournée d'une semaine en France
Participation libre
lionsdesneiges_montblanc@voila.fr tél : 06 85 32 23 78
film 2009 50 mn
La 9ème édition de notre manifestation est centrée
sur l'environnement et problématique de l'eau,
fonte des glaciers, pollution,
et retentissement sur l'approvisionnement de toute l'Asie.
Nous accueillons cette année le Népal,
qui nous proposera par l'intermédiaire des associations
KARYA et France-Népal
des films, des diaporamas, de l'artisanat,
et qui participera à plusieurs conférences.
affiche : conception et réalisation : Sophie Dinne-Samdup
s_dinne@hotmail.com
LHOSSAR 2137
NOUVEL AN TIBETAIN
NOUS ENTRONS DANS L'ANNEE DU TIGRE DE FER
Voici enfin le programme que vous attendez tous avec impatience.
Cette année, le Népal est l'invité d'honneur du Lhossar. C'est le premier pays traversé par les réfugiés tibétains qui ont bravé les dangers de la montagne pour fuir leur pays sous domination chinoise depuis 1949. Nous recevons l'association France-Népal ainsi que des associations qui œuvrent pour les népalais
Et comme toujours, autour des films, conférences et spectacles,
des ateliers, des expositions, le grand marché tibétain
et les repas tibétains bio, végétariens ou pas....
VENEZ NOMBREUX
AMENEZ VOS AMIS QUI NE SAVENT PAS ENCORE
ET FAITES LEUR DECOUVRIR LE TIBET
DANS UNE AMBIANCE FESTIVE
Bientôt février, bientôt le Nouvel An tibétain.
Nous entrerons dans l'année Tigre de Fer du calendrier tibétain.
Comme tous les ans à cette occasion
Lions des Neiges Mont Blanc
organise trois journées festives et d'information autour du Tibet,
les 19, 20 et 21 février
salle Olca aux Houches
conférences, rencontres autour de films,
grand marché tibétain, ateliers,
concerts, et bien sûr repas traditionnels.
Il y sera question d'environnement
- là comme ailleurs les problèmes sont majeurs -
Le pays invité sera cette année le Népal,
qui reçoit depuis cinquante ans les réfugiés du Toit du Monde.
Nous recevrons cette année
la chanteuse tibétaine
Yungchen Lhamo
en concert
le samedi 20 au soir
Vous trouverez prochainement le programme complet sur le blog